Mémoires de Lucifel

<<Je m’assis sur un fauteuil, fatigué de tous les événements qui venait de m’arriver, il y’a a peine une heure j’étais en Chine, et maintenant j’étais sur un grand bateau, avec 500 personnes paniqués qui n’écoutait rien, voguant vers je ne savais où. Je savais bien que l’arme nucléaire des américains avait réduit en miette l’Eurasie, et sûrement qu’il en était de même de l’Amérique par les bombes de l’union européenne et du japon. A mon avis d’ailleurs il ne restait plus aucune terre habitable de la planète. Mais je faisais confiance a mon père. Je savais que je finirai par le retrouver. Ma sœur tournait autour de moi, a la fois inquiète et rassurée d’être sauvée pour le moment. Quand encore une demi heure plus tard, je sentis que le bateau se stabilisait. Nous avions parcouru 750 mètre en longeant l’équateur et normalement ce bateau était conçu pour ne pas s’arrêter avant d’avoir étant sa destination. Je sortis de ma cabine et me dirigea vers le cockpit, il n’y avait personne et ce n’étais pas étonnant car le pilote automatique était toujours enclenché, alors je pris la direction de la salle des machines, passant mes doigts sur l’acier glacer, il semblait qu’a cause de la précipitation on avait oublié de finir certaines pièces qui avait péter il allait falloir les réparer, sa pouvait prendre 24 heure selon mon expérience. Quand je me décida, mon père m’avait, enfin c’est bien l’impression qu’il avait donné, confié certaines responsabilités. Alors je pris route vers le Hangar, la ou il y avait le plus de place et ou tout le monde était réuni dans la plus grande panique et arrivé la bas, je pris une table et monta dessus puis je parla en Anglais pour que tout le monde comprenne.
« Un peu de calme, la panique nous mènerait a notre perte, beaucoup l’ont sûrement constaté, le bateau n’avance plus, nous repartirons dans un jour. Et je demande a tous de ne pas aller sur le pont, l’arme nucléaire a pu libérer certaines substances chimiques auxquelles vous exposer s’avérerait dangereux...
Et bien aujourd’hui, nous avons assisté a la folie de l’homme, l’apogée de cette folie. La race humaine est arrivée a la quasi extinction par sa propre faute. ET OUI , L’HOMME EST LE SEUL ETRE ASSEZ CON POUR SE DETRUIRE LUI MEME. Alors quand nous aurons atteint l’île, je veux que chacun comprenne que nous ne devons pas recommencer nos erreurs, nous pouvons vivre en paix j’en suis persuadé, pour cela il fait coopérer. Mon père a donné sa vie pour cette idéologie, que se sacrifice ne soit pas vain. »
Je finis ainsi mon discours quand j’entendis derrière moi des applaudissement, je me retourna et le vit, il était la, bel et bien vivant, un sourire radieux au lèvre bien qu’il sembla extrêmement fatigué et que sa jambe gauche était en lambeaux.
« Très beau, très théâtral bien que certaines de tes informations ne soit pas a jour fiston ^^ »
Des larmes coulèrent de mes yeux et lui déposa son sac sur le sol, il l’ouvrit et en sortit... les pièces manquantes...
« Tu m’as pas laissé le temps de te confier sa »
Mes larmes se transformèrent en un immense sourire et les quelques mécano de la salle se dirigèrent vers nous, ce fut mon père qui donna les ordres...
Une demi heure plus tard, nous partions.>>

Mémoire de Lucifel. Aout 2057.