Mémoires Du général alwel

L’agitation gagna peu a peu toute la maison, a coup sur l’armée m’appellerai dans moins d’une heure. En effet aux informations était diffusées en direct, les images de la conférence sur la paix dans le monde de 2057. Les états unis venaient en direct, de résilier toutes leur alliances et avaient déclarer la guerre a l’union Européenne.
Mon fils et ma fille semblait extrêmement agités et moi j’essayais tant bien que mal de les rassurer, c’était il y’a un an et demi.
Et en effet, une demi heures après, l’armée de terre française m’appelait, je devais partir au combat. Et ni mon fils ni ma fille ne justifieraient ma désertion. Alors en bon citoyen et en bon soldat, j’enfila ma tenue de général de l’armée française et je prit ma voiture pour aller a la caserne, après avoir serré peut être pour la dernière fois, mes enfants dans les bras, je ne voulais pas les laisser seul, mais je n’avais pas le choix, si ce qui passait était bel et bien vrai, si les Américains attaquaient, alors il faudrait toutes les forces, car c’était le monde qu’ils voulaient.

Mémoire du général Alwel. Chapitre 1. Avril 2057.

Le chaos régnait, cette guerre ne mènerait jamais a rien. C’est ce dont j’étais convaincu 4 mois après le début du conflit, les américains étaient en infériorité face aux forces de tous les états de l’union Européenne réunis, mais la technologie des américains était bien plus évoluée.
Je tirait, je tirait encore et toujours, pour ma vie. Nous allions reprendre Paris qui était occupée par les forces Américaines depuis deux mois. Quand j’entendit dans mon casque: « Tout le monde se replie, les américains ont lancé l’arme nucléaire, nous avons riposté avec les nôtres, c’est le scénario le plus terrible que nous ayons imaginé, nous devons appliquer le plan d’évacuation de l’Europe. »
Je fit signe a mon équipe, bien que je sache bien qu’ils avaient eu le même message et je courus vers la camionnette.
Et je repris la direction de repli que nous avait indiquer mon supérieur, avant de partir pour Paris, car ce scénario avait toujours était craint. Mais moi, au volant, je ne sortis pas de Paris, je n’en avait pas le cœur, malgré les protestations de mes camarades, et je pris la direction de ma maison, je ne pouvais pas laisser mon fils et ma fille. Ils était la, prêts, devant la porte, bagages a la main. Forcément, mon supérieur était mon ami, il les avait prévenus. Et ils sautèrent dans la camionnette. Je laissait le volant a un de mes camarades et serrait mes enfants dans mes bras, alors que le véhicule démarrait a 300 kilomètres heures sur la route de repli que l’armée avait construites des la déclaration de guerre. Nous avançâmes ainsi a travers le pays en longeant la cote, car c’était par la que nous passerions.
Trois jours plus tard, nous arrivâmes a l’extrême Est de l’Asie, la ou était le port. Une foule de milliers de personne était la et mon désespoir commença, jamais on arriverait a évacuer tout sa. Le bateau ne pourrais accueillir qu’un demi millier de personne par trajet. Deux heures après, la situation n’était pas débloquée, mais soudain, des coups de feu, des soldats américains était la, je me fit un chemin jusqu’au bateau, qui avancerait a 500 kilomètres heures une fois partit, et je pris a part mon fils.
« Raph, a partir d’aujourd’hui, tu es Lucifel, celui qui porte le flambeau, tu vois ses gens, c’est toi qui les guidera, tu en emmènera 500, le pilote automatique du bateau est déjà programmé, faits toi respecter, et sauve les, c’est a toi de le faire si ce n’est pas a moi, et veille sur ta sœur, elle te sera d’une aide grande, elle est aussi importante que toi... »
Je ne lui laissa pas le temps de partir et démolit la barrière, il courut, suivit de la première file de 500 personnes, avec sa sœur et moi je me retourna pour me battre, face aux américains.

Du port je sentis le tremblement, je savais qu’il était trop tard, le bateau venait sûrement d’arriver, mais la bombe aussi, et j’étais encore sur le continent, et succombant a un instinct de survie je sauta, je sauta sur le premier véhicule marin, je connaissais le chemin sur l’île, mais quand je largua les amarres seulement, je me rendis compte qu’en catamaran , je n’y étais pas encore…
Mais la chance me sourit, un autre appareil était amarré, un bateau qui pouvait atteindre les 400 kilomètres heures, je le connaissait pour en avoir fait les test a l’armée, je sauta du catamaran et nagea jusqu’au bateau quand en montant je sentit ma jambe me brûler, je la regarda avec appréhension et l’horreur me frappa, elle était percée d’une demi dizaine de balle. Je savais que sa risquait de ne pas tenir longtemps, il fallait que j’atteigne le bateau ou mon fils se trouvait, il y aurait sûrement les pièces nécessaires pour me faire une jambe mécanique et je trouverai une cane mais le plus important, j’avais dans mon sac des pièces indispensable au bon fonctionnement du bateau ou mon fils se trouvait…

Mémoire du général Alwel. Chapitre 4. Août 2057.

» Anna Alwel